Contraception et Infections sexuellement transmissibles (IST)

Boîte à outils numérique pour les professionnel·les de santé et plus si affinités

Selon l’OMS * : « La capacité des hommes et des femmes à être en bonne santé sexuelle et à éprouver un sentiment de bien-être à cet égard dépend :

  • de leur accès à des informations complètes et de bonne qualité sur le sexe et la sexualité ;
  • des connaissances dont ils·elles disposent concernant les risques auxquels ils·elles peuvent être confronté·e·s et de leur vulnérabilité face aux conséquences néfastes d’une activité sexuelle non protégée ;
  • de leur capacité à accéder aux soins de santé sexuelle ;
  • du milieu dans lequel ils·elles vivent, à savoir un environnement qui affirme et promeut la santé sexuelle. »

En France, l’État accompagne les professionnel·les et les particuliers dans le domaine de la santé sexuelle

Les grandes orientations sont développées dans « Stratégie nationale de santé sexuelle 2017-2030 »

Stratégie nationale de santé sexuelle 2017-2030 – Extrait
Santé Sexuelle sur sante.gouv.fr

Objectifs de la fiche

Accéder par des liens aux recommandations, informations, dispositifs légaux concernant la contraception et les IST.

Pour qui ?

  • Prioritairement : biologistes, infirmier·ère·s, médecins, pharmacien·ne·s, sages-femmes, en exercice ou en formation.
  • Pour information et diffusion : conseiller·ère·s conjugaux·ales, professionnel·le·s des secteurs médico-sociaux, intervenant·e·s en éducation à la sexualité, associations, personnels éducatifs, intervenant·e·s en santé publique, décideur·euse·s et tous.tes personnes intéressé.e.s.

Lieux de travail de ces professionnel·les *

  • En libéral (cabinet, laboratoire) ou au sein de structures :
    CSS (centres de santé sexuelle ex-CPEF)
    CeGIDD (centres gratuits d’information, de dépistage et de diagnostic),
    PASS (permanences d’accès aux soins de santé)
  • Centres de santé, centres médico-sociaux, établissements de santé, établissements scolaires, universités…

La contraception, est-ce si simple ?

Blah Blah

Le saviez-vous ?

En 2023, 34,7 % des dernières grossesses survenues dans les cinq ans sont non souhaitées.

Premiers résultats de l’enquête CSF-2023 Inserm-ANRS-MIE – Extrait