Catégorie : Presse

  • CP ANCIC du 29 mai 2018 suite au référendum du 25/05/2018 sur l’abrogation du 8ème amendement de la Constitution irlandaise.

    L’ANCIC félicite les citoyen.ne.s irlandais.es d’avoir exprimé aussi favorablement leur intention de légaliser l’avortement dans leur pays et espère que cette initiative sera reprise par les autres territoires européens dont les lois restrictives limitent encore la liberté des femmes et mettent en péril leur santé : l’Irlande du Nord, la Pologne, Chypre, Malte et Andorre.

    Le bureau de l’ANCIC

    Contact Presse ANCIC : E-Mail

  • Appel à soutenir le projet de l’ANSFO de faire voter une loi autorisant la pratique de l’IVG instrumentale aux sages-femmes

    Source: ANSFO

    Lettre ouverte des médecins favorables à la pratique de l’IVG instrumentale par les sages-femmes
    Madame, Monsieur,

    Nous médecins engagé.e.s pour le droit des femmes à l’IVG, affirmons l’importance que la pratique de l’IVG instrumentale fasse aujourd’hui partie des compétences des sages-femmes.

    Le nombre des IVG instrumentales est en régression en France. En 1990, elles représentaient 90% des IVG réalisées contre 36% en 2016. Ce renversement statistique s’explique par :

    de nombreux départs en retraite des médecins engagés depuis des années auprès des femmes,
    la fermeture d’une centaine de Centres d’Interruption Volontaire de Grossesse durant les dix dernières années,
    l’augmentation récente de l’offre de soins concernant l’IVG médicamenteuse en ville (compétence également partagée depuis la loi de santé de 2016 par les sages-femmes).
    Ce déséquilibre de l’offre de soins en matière d’IVG est, de fait, une remise en question de la liberté de choix de la méthode pour les femmes (inscrite dans le Code de la Santé Publique second alinéa de l’article L2212-2).

    Depuis 2015, l’Organisation Mondiale de la Santé a émis des guidelines sur le rôle des agents de santé qui prodiguent des soins liés à l’avortement et préconisent l’intervention autonome des sages-femmes dans l’IVG instrumentale au premier trimestre de la grossesse.

    Les sages-femmes sont nombreuses à se former à l’IVG médicamenteuse depuis l’évolution récente de leurs compétences et les enquêtes de satisfaction auprès des femmes montrent combien cette avancée est positive.

    L’IVG n’est pas considérée comme un acte classé dans la pathologie gynécologique, mais plutôt comme faisant partie du parcours d’une femme sur trois en France. En ce sens, les sages-femmes en tant que spécialistes de l’endo-utérin gravide physiologique, ont ainsi toute leur place dans la pratique de l’IVG, qu’elle soit médicamenteuse ou instrumentale.

    La pratique de l’IVG instrumentale par les sages-femmes en milieu hospitalier et en centres de santé/CPEF permettrait :

    un intérêt financier certain pour la collectivité
    un recours facilité à l’IVG instrumentale dans les différentes structures
    une réduction des inégalités en terme d’accès aux soins sur le territoire
    la garantie de la liberté de choix de la méthode pour les femmes (largement remise en question actuellement)
    l’introduction de l’IVG dans le parcours génésique des femmes, au même titre que la grossesse, l’accouchement et ses suites immédiates, ainsi que le suivi gynécologique physiologique.
    Ce projet de pratique de l’IVG instrumentale par les sages-femmes a d’ailleurs fait l’objet d’une validation par le comité de pilotage de la stratégie nationale de santé sexuelle du Ministère des Solidarités et de la Santé.

    Nous attestons de notre soutien au projet porté par l’ANSFO de donner compétence aux sages-femmes en matière d’IVG instrumentale.

    Lettre à l’initiative de l’Association Nationale des Sages-Femmes Orthogénistes (ANSFO) avec le soutien de :

    l’Association des Centres de Régulation des Naissances APHP (ACRNAP),
    l’Association Nationale des Centres d’IVG et de Contraception (ANCIC),
    l’Association Nationale des Sages-Femmes Territoriales (ANSFT),
    l’Organisation Nationale et Syndicale des Sages-Femmes (ONSSF),
    l’Union Nationale et Syndicale des Sages-Femmes (UNSSF),
    le Planning Familal.
    En pièce jointe, la lettre de soutien du Réseau Entre Ville et Hôpital pour l’Orthogénie (REVHO).

  • Libération.fr Tribune La meilleure contraception, c’est celle que l’on choisit librement Par ANCIC CADAC MFPF 12/10/17

    Source : Libération.fr

    Alors que des polémiques sont ravivées autour de la pilule contraceptive, le Planning Familial, l’ANCIC et la Cadac rappellent notamment que la contraception doit être accessible à toutes et tous.

    La meilleure contraception, c’est celle que l’on choisit librement

    Depuis plusieurs mois, pétitions, ouvrages et articles se succèdent pour rapporter les «méfaits de la méthode de stérilisation Essure, du dispositif intra-utérin (DIU, ou stérilet) Mirena, de la pilule»… Ces témoignages trouvent un large écho dans les médias.

    Nous, qui, ANCIC ou Planning Familial, accueillons au quotidien des personnes en demande de contraception, sommes inquièt.e.s du retentissement donné à ces témoignages sans que puisse avoir lieu un véritable débat sur les avantages et inconvénients des méthodes contraceptives. Bien sûr, nous avons entendu les femmes qui ont été affectées sévèrement par Essure et nous savons que la pilule, comme toute autre contraception hormonale ou tout produit médicamenteux peut avoir des effets secondaires. Mais nous voulons rappeler un certain nombre de faits.

    Si la contraception est encore en France trop souvent une affaire de femmes, la pilule a été pour elles une libération, en permettant de dissocier sexualité et procréation, et de choisir si et quand avoir un enfant.

    Déconstruire les idées reçues

    Chaque méthode de contraception (hormonale telle que pilule, implant, patch, anneau vaginal, DIU, contraception définitive…) comporte des bénéfices, des contraintes et des risques d’effets secondaires. Toutes les femmes, loin de là, n’en sont pas affectées et il est regrettable que la parole ne soit pas donnée à toutes celles qui en sont satisfaites. Gardons l’esprit critique, vérifions les sources d’information, déconstruisons les idées reçues !

    En ce qui concerne la pilule, les mises en garde contre celles dites de 3e et 4e générations et la diminution de leur prescription ont considérablement réduit les risques de thrombose ou d’accidents vasculaires cérébraux. De plus en plus de jeunes femmes n’ayant pas eu d’enfants bénéficient de la pose de DIU, alors que la France connaissait un grand retard dans sa prescription. Actuellement un grand choix de contraceptions s’offre aux femmes qui peuvent les adapter selon les moments de leur vie (fréquence des rapports sexuels, vie en couple ou non) et selon leurs conditions de vie: pilule œstroprogestative ou progestative, implant, patch, DIU au cuivre ou hormonal, stérilisation, préservatifs masculins ou féminins. Ainsi l’implant contraceptif peut convenir aux jeunes femmes dont la sexualité est contrôlée par l’environnement familial…

    Mais des progrès restent à faire en termes d’information, de délivrance, d’accessibilité : à quand la gratuité des préservatifs ? La prise en charge des 18-25 ans ? Aucune méthode n’est efficace à 100%, en revanche les méthodes médicalisées ont une efficacité théorique et réelle bien supérieure aux méthodes dites «naturelles» (méthode des températures, détermination de l’ovulation, retrait ou coït interrompu…). Si ces méthodes sont le choix de certaines femmes ou de couples, ce choix ne peut être érigé en «modèle, unique symbole de la libération de la femme».

    Education à la sexualité

    Nous souhaitons réaffirmer que la meilleure contraception est celle que l’on choisit en toute liberté, et en toute connaissance de cause. Cette contraception doit être accessible à toutes et tous en termes de coût et de proximité. Les personnes qui demandent une contraception ont besoin d’être informées sur l’ensemble des contraceptifs, de façon juste, objective et fiable, pour faire un choix selon ce qu’elles estiment être pour elles avantages ou contraintes.

    Nous pensons qu’il est important de développer la contraception masculine et déplorons le manque d’investissement dans ce domaine. La recherche actuelle et les essais déjà réalisés augurent de pistes intéressantes et nous serons présent.e.s pour accompagner ce développement à côté des hommes de plus en plus nombreux à vouloir s’y investir. Nous savons que la contraception masculine est entravée par des tabous qu’il faudra vaincre. Hommes et femmes sont confronté.e.s aux mêmes difficultés d’accès à la contraception définitive féminine ou masculine.

    L’éducation à la sexualité joue là un rôle majeur pour que la contraception soit l’affaire des filles et des garçons, partenaires engagé.e.s au même titre dans la prévention des risques, le choix d’avoir ou pas un enfant.

    Développer des méthodes innovantes

    Alors, gardons l’esprit critique face aux mouvements divers, dont les motivations peuvent être contraires aux droits des femmes, et qui surfent sur les annonces médiatiques; encourageons la recherche publique, indépendante des laboratoires pharmaceutiques pour étudier l’acceptabilité des méthodes existantes tant sur le plan médical que sur le plan social, et contribuer à développer de nouvelles méthodes, pour les femmes et pour les hommes.

    Et si ces méthodes sont fiables et à ce titre misent sur le marché, qu’elles bénéficient à toutes et tous.

    Exigeons des campagnes nationales régulières d’information sur la contraception. Ce qu’a permis la contraception est un acquis majeur pour les femmes: vivre librement sa sexualité sans assignation à la procréation. La contraception et l’avortement sont des conditions essentielles de l’égalité entre les femmes et les hommes et de l’émancipation des femmes, à qui la maternité choisie donne les moyens de leur autonomie et de leur liberté. Toute régression en ce domaine est inimaginable car elle contribuerait à la remise sous tutelle des femmes. C’est pourquoi nous nous battons pour amplifier ce progrès nécessaire à l’égalité.

    l’association Ancic association nationale des centres d’IVG et de contraception , l’association Cadac Coordination des associations pour le droit à l’avortement et à la contraception. , Le Planning familial

  • Assemblée Nationale Délégation aux droits des femmes : Audition sur l’accès à l’IVG 28 septembre 2017

    Audition sur l’accès à l’interruption volontaire de grossesse
    Mme Marie-Pierre Rixain, présidente
    Mme Laurence Esterle, copres. ANCIC
    Mme Emmanuelle Lhomme, copres. ANCIC
    Mme Caroline Rehbi, copres. mvt français planning familial
    Mme Danielle Gaudry, gynécologue
    Mme Marie-Pierre Rixain, présidente
    Mme Emmanuelle Lhomme, copres. ANCIC
    Mme Laurence Esterle, copres. ANCIC
    Mme Caroline Rehbi, copres. mvt français planning familial
    Mme Sophie Panonacle
    Mme Marie-George Buffet
    Mme Annie Chapelier
    Mme Chantal Birman, ANCIC et vice pres. ANSFO
    Mme Emmanuelle Lhomme, copres. ANCIC
    Mme Laurence Esterle, copres. ANCIC
    Mme Caroline Rehbi, copres. mvt français planning familial
    Mme Danielle Gaudry, gynécologue
    Mme Laurence Trastour-Isnart
    Mme Cécile Muschotti
    Mme Bérangère Couillard
    Mme Emmanuelle Lhomme, copres. ANCIC
    Mme Chantal Birman, ANCIC et vice pres. ANSFO
    Mme Marie-Pierre Rixain, présidente
    Mme Emmanuelle Lhomme, copres. ANCIC
    Mme Caroline Rehbi, copres. mvt français planning familial
    Mme Sarah Durocher, bureau planning familial
    Mme Laurence Esterle, copres. ANCIC
    Mme Danielle Gaudry, gynécologue
    Mme Nadia Hai
    Mme Fiona Lazaar
    Mme Sonia Krimi
    Mme Laurence Gayte
    Mme Emmanuelle Lhomme, copres. ANCIC
    Mme Laurence Esterle, copres. ANCIC
    Mme Caroline Rehbi, copres. mvt français planning familial

  • Interview de Madame Laurence DANJOU Co-présidente de l’ANCIC 07/07/17 Fondation des Femmes

    Qui êtes-vous et qu’est-ce qui vous a donné cette envie de vous engager pour le droit à l’avortement et à la contraception ?

    J’ai 65 ans, je suis gynécologue médicale et actuellement co-présidente de l’Association des Centres d’Interruption volontaire de grossesse et de Contraception (ANCIC). Installée en cabinet libéral, je reçois des femmes pour toutes sortes de problématique. Je travaille également depuis 1978 au sein d’une unité hospitalière que j’ai contribué à créer, accueillant des femmes et des couples pour toute question en relation avec l’IVG, la contraception, les IST , structure communément appelé centre d’orthogénie.

    Contrairement aux idées répandues, en tout cas dans le corps médical, la pratique de l’orthogénie est très riche et l’aide que l’on apporte aux femmes très gratifiante…

    Simone Veil est-elle une source d’inspiration ?

    J’ai été sensibilisée à l’IVG de par ma pratique médicale , étant confrontée à la maltraitante des femmes en situation d’avortement illégal, et à travers une réflexion féministe dès les années 70. Sans la mobilisation de la société civile, des femmes surtout, la loi autorisant l’interruption volontaire de grossesse n’aurait pas vu le jour, mais Mme Simone Veil a su défendre ce projet de loi avec une opiniâtreté et un courage admirable dans le contexte de cette époque.

    Expliquez-nous ce qu’est votre association ?

    L’ANCIC est une association loi 1901, créée en 1979, qui rassemble les professionnel.le.s travaillant dans des centres de planification et/ou d’interruption de grossesse.

    Ses missions sont multiples :

    agir sur le plan politique pour améliorer l’accès à l’IVG et à la contraception,
    soutenir les structures et les professionnel.le.s pratiquant les IVG,
    mettre en place des projets de recherche scientifique en rapport avec la pratique de l’IVG,
    informer les usagères.ers et lutter contre la propagation d’idées négatives sur l’IVG, notamment par les mouvements anti-IVG contre lesquels l’ANCIC s’est toujours mobilisée.
    Qu’avez vous réussi à accomplir avec votre association qui vous donne l’envie et l’énergie de continuer?

    L’action de l’ANCIC auprès des instances a largement contribué à l’avancée de la législation depuis la loi de 1975, avancées qui permettent un meilleur accès pour les femmes à l’IVG et à la contraception. Nous nous félicitons d’avoir permis ces progrès, mais nous sommes conscients que ces droits restent fragiles (ou inexistants dans de nombreux pays, même au sein de l’Europe) et que nous devons continuer à nous mobiliser pour les maintenir, les améliorer.

    Au contraire, quels sont les freins qui vous empêchent de vous développer ? La question des moyens financiers est elle un sujet de préoccupation ?

    La majorité de nos membres sont bénévoles et en activité et donc pris par leurs obligations professionnelles. Bien que convaincus de la nécessité de cet engagement, ils n’ont pas suffisamment de temps.

    Par ailleurs des freins financiers pèsent bien sûr aussi sur le fonctionnement de l’association : pour réaliser nos actions il faut des moyens, afin de payer notre coordinateur, d’organiser nos journées d’étude, de réaliser des documents d’information à destination des professionnel.le.s, des usagers.ères, etc… Les subventions sont extrêmement difficiles à obtenir…

    Pour finir, quels sont vos projets futurs ?

    Nous avons de nombreux projets, mais l’un d’eux nous semble actuellement urgent : garantir aux femmes le choix en matière de méthode d’IVG. La démographie médicale étant en baisse, les moyens attribués aux établissements de santé aussi, nous craignons de voir se développer une tendance au « tout médicamenteux », ce qui contraindrait les femmes à n’avoir qu’un seul choix de méthode possible bien qu’elle ne convienne pas à toutes, comme nous l’a montré notre pratique.

    Nous souhaitons éviter cette situation et plusieurs axes de travail existent : continuer à former les médecins notamment médecins généralistes aux techniques instrumentales et à la pratique de l’anesthésie locale, (technique trop peu développée actuellement ) étendre ce champ de compétence à d’autres professionnels telles les sages-femmes , lutter pour le maintien de l’accès à l’IVG dans les établissements de santé publics, etc… Mais hormis cela, il faut aussi informer les usagers.ères sur l’intérêt et les limites de chaque méthode, lutter contre des idées reçues, engager une réflexion sur l’évolution des pratiques médicales.

    Ce travail ne peut s’accomplir sans moyens financiers, et nous remercions la Fondation des Femmes de l’aide qu’elle peut nous apporter.

    En hommage à Simone Veil, la Fondation des Femmes fait appel à votre générosité afin de soutenir l’Association Nationale des Centres d’IVG et de Contraception et lui permettre d’améliorer concrètement l’information, l’éducation sexuelle, la maîtrise de la procréation et l’accès à l’IVG.

  • CP : Pour le droit à l’avortement dans toute l’Europe ! Les Femmes décident !

    Mobilisation partout en Europe autour du 28 septembre 2017 !

    http://avortementeurope.org/

    Point sur les mobilisations en France

    Les mobilisations en France autour du 28 septembre
    – Marseille fait un rassemblement le 28 septembre à 18h
    Rassemblement sous l’Ombrière du Vieux Ports
    https://www.facebook.com/events/108785816463604/

    – Paris Ile de France fera également un rassemblement le jeudi 28 septembre pour montrer notre mobilisation 18H30 place de la République.

    – à Lyon
    Dans ce cadre, le Collectif de Défense de l’IVG organise deux événements :

    – Le samedi 16 septembre à 14h lieu de départ à confirmer Lyon 6ème arrondissement : Tour Opérator des Consulats (sous forme de manifestation/déambulation ponctuées de surprises) dans le cadre des journées du matrimoine. L’idée est de faire un parcours des consulats et de prévoir des actions devant chacun d’eux. Nous avons choisi cette date pour dire que l’avortement est notre matrimoine qu’il doit être étendu, protégé et maintenu.

    – Le jeudi 28 septembre à 18h30 rassemblement place de la Comédie Lyon 1er arrondissement Jour de remise des pétitions aux parlementaires européen.ne.s.

    – à Rennes le 5 septembre à 18h30

    – Du côté de Rennes, les effronté-e-s Rennes proposent un apéro de rentrée avec au programme : préparation de la journée européenne de mobilisation du 28 septembre pour le droit à l’IVG.

    – Grenoble le 23, Tours le 30, Nice le 28.

    https://www.facebook.com/events/112475896087410/?acontext=%7B%22ref%22%3A%223%22%2C%22ref_newsfeed_story_type%22%3A%22regular%22%2C%22action_history%22%3A%22null%22%7D

    RÉGION OCCITANE
    Le collectif pour l’IVG (Interruption volontaire de grossesse) a créé une page Facebook locale :

    Facebook : https://www.facebook.com/Avortement-les-Femmes-décident-France-Sud-1731787833516418/

    BRUXELLES
    Manifestation à Bruxelles
    jeudi 28 septembre 2017 à 17h30
    17h30 quartier Européen – 1000 Bruxelles

    En solidarité avec l’ensemble des femmes européennes, après la lutte exemplaire des femmes espagnoles en 2015, polonaises en 2016, nous exigeons que les droits des femmes, la liberté à disposer de son corps, le droit à l’avortement et à la santé soient respectés dans tous les pays européens et inscrits comme droits fondamentaux pour l’égalité en Europe. Aujourd’hui le droit à l’avortement au sein de l’Europe relève de la compétence de chaque Etat. Interdit en Irlande et à Malte, sous hautes contraintes en Hongrie et en Pologne, le droit à l’avortement, même légalisé est, peut ou pourrait être remis en question par le maintien de la clause de conscience des médecins (Italie), l’absence de structures hospitalières adéquat (Grèce, Bavière), les restrictions de personnels et les suppressions des centres pratiquant l’avortement lors de restructurations hospitalières (France), et, dans tous les pays, par l’élection de gouvernements réactionnaires, conservateurs et rétrogrades.

    Cette manifestation, co-organisée par plusieurs associations belges et françaises, est réalisée dans le cadre de la Rencontre Européenne de la MMF du 28 septembre au 1 octobre à Bruxelles.

    28 septembre – 17h30 quartier Européen – 1000 Bruxelles

    TANT QUE TOUTES LES FEMMES NE SERONT PAS LIBRES, NOUS SERONS EN MARCHE !

    Facebook : https://www.facebook.com/events/1384432568340505

    En solidarité avec l’ensemble des femmes européennes, après la lutte exemplaire des femmes espagnoles en 2014 et polonaises en 2016, nous exigeons que les droits des femmes, la liberté à disposer de son corps, le droit à l’avortement et à la santé soient respectés dans tous les pays européens et inscrits comme droits fondamentaux pour l’égalité en Europe.

    Aujourd’hui, le droit et l’accès à l’avortement au sein de l’Europe relève de la compétence de chaque Etat. Interdit à Malte, sous hautes contraintes en Irlande, en Hongrie et en Pologne, le droit à l’avortement, même légalisé est, peut ou pourrait être remis en question par le maintien de la clause de conscience des médecins (Italie), l’absence de structures hospitalières adéquates (Grèce, Bavière), les restrictions de personnels et les suppressions des centres pratiquant l’avortement lors de restructurations hospitalières (France), et, dans tous les pays, par l’élection de gouvernements réactionnaires, conservateurs et rétrogrades.

    Le Collectif féministe et unitaire « Pour le droit à l’Avortement en Europe, les femmes décident ! » – voir l’Appel joint – en lien avec de nombreuses associations et organisations européennes, se mobilise autour du 28 septembre 2017, journée internationale pour le droit à l’avortement, contre toute remise en cause de ce droit, contre tous les réactionnaires et obscurantistes opposés aux droits des femmes, pour une loi qui l’inscrira dans la Charte européenne des droits fondamentaux.

    Une pétition est en ligne sur https://www.change.org/p/les-gouvernements-des-pays-d-europe-pour-le-droit-%C3%A0-l-avortement-partout-en-europe?recruiter=17173164&utm_source=share_petition&utm_medium=facebook&utm_campaign=share_for_starters_page

    Un site : http://avortementeurope.org/

    Pour tous contacts :
    Nelly Martin : 06 80 63 95 25 ;
    Nora Tenenbaum : 06 88 86 41 42
    Véronique Séhier : 06 86 65 25 19







  • Collecte pour le droit à l’IVG en hommage à Simone Veil par Fondation des Femmes

    Sous égide de la Fondation Reconnue d’Utilité Publique FACE, la Fondation des Femmes agit pour la promotion de l’égalité femmes-hommes et la lutte contre les violences faites aux femmes.
    Soutenir les actions en faveur du droit des femmes à disposer de leur propre corps

    Présentation du projet

    En hommage à Simone Veil, nous souhaitons perpétuer son combat pour le droit des femmes à disposer de leur propre corps. Cette collecte sera entièrement reversée à l’Association Nationale des Centre IVG et Contraception pour améliorer concrètement l’information, l’éducation sexuelle, la maîtrise de la procréation et l’accès à l’IVG pour toutes les femmes qui en ont besoin.

    Origine du projet

    Simone Veil nous a quitté. Nous nous sommes demandé.e.s comment lui rendre hommage et perpétuer son combat. Financer les actions qui permettent de faire vivre le droit à disposer de son corps et soutenir les professionnel.le.s qui, chaque jours, sont aux côtés des femmes, nous a semblé être une manière très concrète de faire vivre son héritage. Voilà pourquoi nous vous proposons cette collecte.

    A quoi servira l’argent collecté ?

    La collecte sera entièrement reversée à l’ANCIC et à ses actions en faveur du droit des femmes à disposer de leur corps. L’Association Nationale des Centres d’Interruption de grossesse et de Contraception (ANCIC) a été fondée en 1979 à l’occasion du vote définitif de la loi sur l’avortement en France. Elle rassemble des professionnels travaillant dans les Centres de planification et d’éducation familiale, les Centres d’interruption volontaire de grossesse et les Etablissements d’information de conseil conjugal et familial : médecins, conseillères conjugales et familiales, infirmières, sages-femmes, psychologues et toute personne participant à la défense des droits des femmes, à la réflexion et aux recherches théoriques et pratiques concernant la sexualité, la maîtrise de la procréation et l’éducation sexuelle.

    ACTIONS PRINCIPALES QUI SERONT FINANCEES GRACE A VOS DONS

    – création de supports d’information sur la contraception, l’éducation sexuelle et l’IVG et leur diffusion
    – amélioration des moyens matériels des Centres d’Interruption de Grossesse et de leur personnel pour permettre le meilleur accueil possible
    – développement de la recherche et de l’enseignement en matière d’orthogénie pour améliorer les pratiques de la médecine

    Qui sommes nous?

    La Fondation des Femmes, sous égide de la Fondation FACE, est la première structure de collecte en faveur des Droits des femmes, de l’égalité entre femmes et hommes, et de la lutte contre les violences. Fondée en mars 2016, elle a déjà soutenu une cinquantaine d’associations.

    Cliquez sur l’image ou le lien pour accéder à la page sur le site de collecte helloasso